Après choses bues, choses lues. Je passe des nourritures terrestres (je n’évoque pas les mânes d’André Gide!) à Paul Verlaine. En nettoyant mon étagère du haut de la bibliothèque, je suis tombée sur mon édition ancienne en 6 volumes de Paul Verlaine. Je feuillette le dernier volume : oeuvres posthumes, écrites à l’Hôpital Broussais. Je tombe sur ce poème » Cordialités » dédié à son ami écrivain Ernest Delahaye. Voici la 1ère strophe Dans ce Paris où l’on est voisin et si loin L’un de l’autre que c’est une vraie infortune De s’y voir, de s’y savoir tels, vu ce besoin L’un de l’autre pourtant, qui donc vous importune !
Jour : 2 avril 2020
Osez
Faire votre pâte brisée, c’est très simple. Dans un saladier, versez 200 g de farine fine avec 150 g de beurre coupé en morceaux, 1/2 verre d’eau tiède, une pincée de sel, malaxez, puis faire une boule de la pâte obtenue. Laissez une demi heure au frigidaire. Avec un rouleau à pâtisserie, l’étendre et garnir un moule à tarte beurré. Prendre une fourchette pour la piquer par endroits (pour éviter les crapauds = gonflement de la pâte). Mon secret, quelques minutes de cuisson pour éviter que votre garniture l’humidifie et la rendre poreuse. Eté comme hiver, salée, sucrée, cette pâte convient à tous les ingrédients. Y poser délicatement vos légumes ou fruits choisis et faire cuire au four 45 minutes. vérifiez de temps en temps qu’elle ne brûle pas. Autre avantage, il n’y a pas de meilleure crème pour les mains (avec le beurre) !
Choses Vues 