Après choses bues, choses lues. Je passe des nourritures terrestres (je n’évoque pas les mânes d’André Gide!) à Paul Verlaine. En nettoyant mon étagère du haut de la bibliothèque, je suis tombée sur mon édition ancienne en 6 volumes de Paul Verlaine. Je feuillette le dernier volume : oeuvres posthumes, écrites à l’Hôpital Broussais. Je tombe sur ce poème » Cordialités » dédié à son ami écrivain Ernest Delahaye. Voici la 1ère strophe Dans ce Paris où l’on est voisin et si loin L’un de l’autre que c’est une vraie infortune De s’y voir, de s’y savoir tels, vu ce besoin L’un de l’autre pourtant, qui donc vous importune !