Oui, c’est mon chouchou, je précise ce metteur en scène. Une mise en scène riche, subtile et intelligente de Robert Carsen montre les chemins optimistes de la sagesse aux jeunes couples sans oublier l’évocation de la mort de cet opéra, le dernier avant la mort du compositeur. La musique, les interprètes avec une mention spéciale à Papageno et Papagena, les décors, les costumes font de cette soirée un enchantement. À voir à l’opéra Bastille jusqu’au 19 novembre.