Miroir du monde, chefs-d’œuvre du cabinet d’Art de Dresde.

Quelques tableaux, armes, porcelaines, objets de curiosité sont dispersés au Musée du Luxembourg venant de Dresde. Quand on connaît la richesse, l’opulence et la magnificence des collections des Princes de Saxe-Cobourg dans tous les arts : la peinture, la sculpture, la joaillerie, la porcelaine, l’ivoire, les armes, les objets extravagants, on comprend mal ces choix modestes sans grand intérêt. On se passerait bien des notifications moralisatrices émises par le musée ! Décevant, Bien décevant. Jusqu’au 15 janvier.

Corne à poudre, époque 1590venant d’Inde du Nord

La flûte enchantée de Wolfgang Amadeus Mozart.

Oui, c’est mon chouchou, je précise ce metteur en scène. Une mise en scène riche, subtile et intelligente de Robert Carsen montre les chemins optimistes de la sagesse aux jeunes couples sans oublier l’évocation de la mort de cet opéra, le dernier avant la mort du compositeur. La musique, les interprètes avec une mention spéciale à Papageno et Papagena, les décors, les costumes font de cette soirée un enchantement. À voir à l’opéra Bastille jusqu’au 19 novembre.