Aristide Maillol. (1861-1944), la quête de l’harmonie.

C’est au Musée d’Orsay que l’on découvre qu’Aristide Maillol commence la tapisserie, les bois sculptés, la céramique et la peinture. C’est vers 1895 qu’il se consacre à la sculpture, au nu féminin. Depuis toujours j’ai apprécié ces sculptures exposées en plein air au jardin des Tuileries (avant la construction du souterrain). À apprécier jusqu’au 2 juillet.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s