Marcel Proust, du côté de la mère.

Organisée pour le centenaire de la mort de l’écrivain, le mahJ ou musée d’art et d’histoire du Judaïsme réunit près de 150 peintures, dessins, gravures, livres et documents. Une réussite d’avoir trouver un équilibre entre l’écrit et le visible et montrer ses attaches à la filiation maternelle, à sa judéité dans son œuvre littéraire présente de manière allusive et ambigüe. À découvrir jusqu’au 28 août.