Félix Fénéon – Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse.

A ne pas manquer cet intéressant hommage rendu à Félix Fénéon au Musée de l’Orangerie, jusqu’au 27 janvier 2020. Ce journaliste critique d’art, critique littéraire  fut l’ardent défenseur, entre autre,  de la peinture de Seurat, de la poésie de Mallarmé, de la prose de Joyce et précurseur de l’art africain et océanien pendant les années 20/30. Méfiez-vous toutes les autres salles du musée sont fermées pour rénovation, il y a foule !

Ailleurs et autres musées.

Les deux premiers sont pris sur des aires d’autoroute en Corrèze, tout est propre, quel progrès. Celui à carreaux appartient au bon bistrot  ‘A la tête d’or‘ derrière le Châtelet. En  haut à droite se trouve au nouveau Musée Jean Moulin avec un crochet pour ses vêtements ou sac, en bas celui du Palais de la Découverte puis ceux du Musée d’Art Moderne, nombreux, propres mais sans le crochet porte manteau; dommage.

Rouge.

Comment parler de l’Art, de la vision de l’Art Contemporain et de son côté mercantile ? Le peintre Mark Rothko et son assistant sont face à face sur la scène transformée en atelier du théâtre Montparnasse.  Niels Arestrup et Alexis Moncorgé les incarnent magistralement. Ne manquer pas d’aller les admirer à travers le dialogue de John Logan, vous avez jusqu’au 22 décembre pour voir Rouge.

Jungle Book

 Jungle Book ou le Livre de la Jungle revu et mis en scène par Robert Wilson, il faut apprécier ses mises en scène pour aimer ce spectacle. Ce sont une succession de différentes scènettes retraçant l’histoire de Mowgli. Cest trop décousu pour que les enfants de 8/10 ans qui ne connaissent pas l’histoire puisent suivre. Les petits comme les grands découvriront avec plaisir les masques des différents animaux, la musique live et les éclairages et ombres chères à Robert Wilson. Les mots en anglais étaient incompréhensibles avec un mauvais accent accentué par  les micros, dommage. C’est au théâtre 13, place d’Italie jusqu’au 8 novembre.

Maldoror

C’est le talentueux Benjamin Lazar qui met en scène et interprète des extraits des Chants de Maldoror. Il est plus difficile d’y rentrer, de suivre ces textes magnifiques mais décousus à l’image de l’auteur Isidore Ducasse. la musique scande bien ces envolées lyriques. Les images n’ajoutent rien à la poésie de l’ensemble. A découvrir au théâtre de l’Athénée le 15 octobre à 19 heures; le 16, 17, 18et 19 h à 20 heures.

Autres dans les restaurants et musée…

L’un d’époque, l’autre plus contemporain et spacieux, les deux extrêmement propres sont au Musée des Avelines et son charmant restaurant à Saint Cloud. Le caffé Bellucci (restaurant de la salle Gaveau) a des cactus en porcelaine en décoration, l’ensemble est au sous-sol très propre. Ceux de la salle Gaveau se méritent; il faut monter à l’entresol ou au 4 étage (escalier bien haut !) pour les trouver, ils sont propres pour H et F. Bien pratique, au rez de chaussée pour H et F, que 2, mais propres ceux du musée Antoine Bourdelle.