Nous les arbres.

Beaucoup de personnes font la queue et se pressent pour voir cette exposition dans le vent : Nous les arbres, à la Fondation Cartier jusqu’au 10 novembre. Décevante, à part quelques dessins naïfs d’indiens d’Amazonie Brésilienne. Des films, des photos difficiles à voir tant il y a du monde.

Yan Pei-Ming

Quand vous irez au Musée d’Orsay voir la splendide exposition Degas à l’Opéra, vous pouvez jeter un oeil sur les 3 gigantesques tableaux de Yan Pei-Ming en hommage à Courbet, peintre chinois contemporain. C’est saisissant. Un enterrement à Shanghai jusqu’au 12 janvier 2020.

Du Douanier Rousseau à Séraphine.

C’est une explosion de couleurs, de fleurs, de paysages des peintres dits naïfs ou primitifs modernes que vous pouvez découvrir avec plaisir au musée Maillol, jusqu’au 19 janvier 2020. Les bouquets de Séraphine Louis tiennent compagnie aux femmes de Dominique Peyronnet et Jean Eve, aux poupées d’André Bauchant, aux paysages et fauves du Douanier Rousseau, sans oublier Ferdinand Desnos, René Rimbert et Louis Vivin. A ne pas manquer

Mes investigations continuent au cinéma, musée et théâtre.

C’est au sous-sol (2 étages), ils sont propres; il y a aussi derrière la caisse de plein pied du cinéma UGC Montparnasse. Le plus année 70, au nombre de que 3 ! il y a toujours la queue à l’Espace Pierre Cardin et ne sont toujours pas nickel. Les plus luxueux et impeccables en marbre pourpre au Musée Maillol. A tous, ils manquent le petit ‘crochet’ ou porte-manteau pour poser son vêtement ou sac à l’intérieur, sur les portes.

Un jour de pluie à New York.

Les aventures de deux étudiants décident de passer un week-end à New York en amoureux. Cela ne se déroulent pas comme ils le pensaient. De charmants jeunes acteurs filmés à New York par un Woody Allen toujours en forme, ils ne boudent pas leur plaisir, moi non plus. Un film léger et charmant, sans prétention, bien agréable à regarder.

Le misanthrope.

Quel plaisir, quel régal ! Enfin une pièce classique mise en valeur par une mise en scène intelligente, fine et sensible, merci Alain Françon. Un décor sobre et subtil de Jacques Gabel se prête à tous les actes, des acteurs à la diction parfaite, un brin précieuse : Gilles Privat, Pierre François Garel, Marie Vialle, Lola Riccaboni, Régis Royer. Ce fut une soirée parfaite. Ne manquez pas d’aller voir cette pièce subsversive de Molière au théâtre de la Ville, Espace Pierre Cardin jusqu’au 12 octobre.