Écrite entre 1938 et 1939 puis traduite en anglais 1945, elle résume les certitudes d’un mathématicien astronome par rapport à la toute puissance de l’Église. Il sera obligé de se renier pour conserver la vie. Éric Ruf propose une nouvelle mise en scène dont je n’ai rien vu. Étant placée tout à fait de côté, on entend les comédiens mais on ne voit rien du plateau, pour le prix 35€ essayer d’être en face de la scène ! À la Comédie-Française jusqu’au 19 janvier.