Cri de cœur d’Alan Lucien Øyen.

Danseurs et techniciens se mêlent sur le plateau où les nombreux décors sont poussés par ces derniers. Entre le rêve et la réalité, la vie et la mort, la vérité et le mensonge, les interprètes principaux dansent, récitent et chantent indifféremment. Le temps se dissout. La 1 ère partie m’a paru longue et brouillonne, j’ai apprécié la seconde plus épurée et sans ces changements de décors incessants. À voir ou ne pas voir à l’opéra Garnier jusqu’au 13 octobre.