Le musée Carnavalet commémore le 150e anniversaire de la naissance de Marcel Proust en exposant tableaux, manuscrits, meubles, objets, photographies, accessoires évoquant son univers parisien de la rive droite. À découvrir jusqu’au 10 avril.



Choses vues, entendues, notées sur le vif en forme de brèves, de caricatures ou de longs portraits, de récits bouleversants, d'enquêtes, de grands moments qui appartiennent désormais à l'histoire nationale, mais aussi de mots d'esprit, d'expressions glanées dans la rue – voici le siècle de Hugo.
Le musée Carnavalet commémore le 150e anniversaire de la naissance de Marcel Proust en exposant tableaux, manuscrits, meubles, objets, photographies, accessoires évoquant son univers parisien de la rive droite. À découvrir jusqu’au 10 avril.
La découverte de cette grotte date de 1940 par 4 adolescents. Fermée depuis 1963, pour cause d’altération des dessins, maintenant elle existe sous forme de réplique Lascaux II, Lascaux IV. Il suffit de vous inscrire à la cité de l’architecture et du patrimoine pour visiter munis d’un sac à dos de 4 kilos et d’un casque de réalité virtuelle. Un groupe de 6 personnes accompagné d’un guide-conférencier se déplace dans les 235 mètres de la galerie à partir d’une pièce de 120 m2, pendant 45 minutes. C’est magnifique. Les visites, hors vacances scolaires, sont uniquement le jeudi entre 14 et 20h30 et le samedi de 11 à 17h. 32 euros par personne.
Si vous aviez aimé le film au début des années 1970, vous apprécierez cette nouvelle mise en scène déjantée d’Alexis Michalik. Chansons et danse sont au rendez-vous sur un rythme endiablé pour faire de cette comédie musicale en succès. Seul bémol, la chaleur insupportable qui règne au théâtre de Paris. A voir du mardi au samedi à 20 h; samedi et dimanche à 16 h jusqu’au 22 avril.
La troupe de la Compagnie de l’Eternel Été en donne une version rock en interprétant en live des chansons de Nick Cave, David Bowie où les Doors. Ne manquez pas ce Fantasio plein de fantaisie et de mélancolie. Mise en scène fidèle et ironique d’Emmanuel Besnault, une réussite à voir au Lucernaire du mardi au samedi à 20 heures, le dimanche à 15h, jusqu’au 27 mars.
Pour voyager de siècle en siècle et de pays en pays… il suffit de passer d’un étage à l’autre de l’aile Denon (Vivant Denon, Ecrivain « Point de lendemain », savant, collectionneur) pour contempler les objets et statues de ces civilisations grecques, romaines, syriennes, iraniennes, puis les peintures françaises, italiennes, anglaises pour finir en Océanie
Il n’y a rien à redire du jeu des 4 acteurs. Je n’ai pas aimé la mise en scène. Trop de séquences identiques (la tempête et la danse), de retour entre l’auteur et son personnage (son double), trop bruyant. Mon amie Sophie a beaucoup aimé et a retrouvé la fureur de vivre et d’écrire de l’auteur. A voir au théâtre Essaion, jusqu’au 16 avril les vendredis et samedis à 21h15.
Dès la fin du 1er millénaire avant J.C. , le dieu Shiva pratique le yoga. De nombreux ascètes suivent son exemple. Des manuscrits et des représentations picturales montrent ces pratiques. À admirer au Musée Guimet jusqu’au 2 mai.
Vous avez aimé le roman autobiographique de l’auteur, vous apprécierez cette heure en compagnie de l’excellent comédien Franck Desmedt qui retrace avec talent et émotion l’amour inconditionnel de la mère de l’écrivain. A découvrir au Lucernaire du mardi au samedi à 18h30, le dimanche à 17h jusqu’au 6 mars.
La musique, les chanteurs, Anita Rachelishvili merveilleuse Marfa, le chef d’orchestre Hartmut Haenchen, la magnifique mise en scène de Richard Hudson, les chœurs de l’Opera splendides étaient au rendez-vous pour une soirée exceptionnelle à l’Opéra de Paris jusqu’au 18 février. Quel plaisir d’assister à une représentation où tout est parfait : les décors, les costumes, la mise en scène cohérente avec le livret, merci Richard Hudson.