Mexica -Des dons et des dieux au Templo Mayor.

Ce sont les splendides vestiges pour honorer leurs divinités de l’ancienne capitale de l’empire mexica et de son enceinte sacrée trouvés dans les sous-sols de la ville de Mexico que montrent cette exposition. À admirer au musée du Quai Branly jusqu’au 8 septembre.

L’impresario de Smyrne de Carlo Goldoni.

Des chanteurs d’opéra cherchant des rôles, un mauvais poète à offrir ses services d’écriture, un impresario malhonnête évoluent dans le cadres de Venise pour trouver du travail et de l’argent. La mise en scène de Laurent Pelly est classique, agréable à regarder. Les trois musiciens cachés dans le décor accompagnent les chanteurs. Des répétitions supprimées dans le jeu auraient suffi à alléger la longueur de ces scènes d’opéra. À entendre au théâtre de l’Athénée jusqu’au 5 mai.

Sonate d’Automne d’Ingmar Bergman.

Vous pouvez suivre mon exemple (pour m’éviter un déplacement) et voir cette pièce émouvante dans la foulée de la précédente ! Les rapports tendus mère/fille sont justement interprétés par la magnifique Marie Venturi (aussi metteur en scène) et Béatrice Hallouët accompagnées de Yann Guenon et Maïwenn Lohéac. C’est au studio Hébertot du jeudi au samedi à 21h, le dimanche à 14h30 jusqu’au 21 avril, seulement.

Les arts en France sous Charles VII (1422-1461).

Un règne troublé par les guerres mais n’empêche pas un immense renouveau artistique aussi bien dans la peinture, la sculpture, l’orfèvrerie et la tapisserie. C’est au musée Cluny jusqu’au 16 juin, vous pouvez découvrir ces merveilles.

Le Paris de la Modernité – 1905 – 1925.

Il est trop tard pour admirer cette intéressante exposition au Petit Palais. Des artistes venus du monde entier et de tous horizons se retrouvent tous à Paris. La peinture, la sculpture, le dessin, la photographie, la mode, la danse, la musique, la littérature, les arts décoratifs, le cinéma, l’industrie, l’architecture montrent l’effervescence créatrice de ce rayonnement culturel.

Amedeo Modigliani Edgar Brandt