Faust de Charles Gounod.

Le Vieux savant Faust vend son âme au diable pour retrouver la jeunesse. Ce mythe popularisé par Goethe est retravaillé par Gounod. Une mise en scène de Tobias Kratzer oscille entre le monde d’aujourd’hui et le mystère du romantisme. L’excellente idée du début de présenter Faust par un vieux comédien auquel se substitue le jeune ténor Benjamin Bernheim m’a beaucoup plu. Je n’ai pas adhéré à toute la mise en scène (terrain de basket, immeuble moderne..). La musique emporte tout, les chœurs sont toujours formidables. C’est à l’opéra Bastille jusqu’au 13 juillet.

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