Seize passages musicaux ont été choisis parmi les opéras de jeunesse du compositeur par le metteur en scène Kristina Lada pour former une nouvelle histoire. Cette première partie se passe vers les années 1968, en Italie, en pleine révolte des étudiants et des ouvriers. La seconde partie évoque les souvenirs différents de ce qui s’est réellement déroulés. Sur scène se mêle les quatre excellents solistes, les chœurs, les danseurs sur fond d’images vidéo. J’attends avec impatience de voir cette seconde partie à l’opéra de la Monnaie, jusqu’au 7 avril.
