The exterminating angel de Thomas Adès.

J’étais à la première de cet opéra en trois actes, en anglais, 2 heures sans entracte, à la baguette le compositeur Thomas Adès. Une histoire aussi obscure que le film surréaliste de Luis Buñuel dont elle s’inspire, un huis-clos où les quinze personnages sont enfermés dans une pièce dont ils ne peuvent pas sortir. La mise en scène magnifique de Calixto Bieito sert d’écrin à une partition riche avec des instruments singuliers comme les ondes Martenot. Impressionnant, à découvrir à l’opéra Bastille jusqu’au 23 mars.

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