L’aquoiboniste d’après une nouvelle d’Émile Zola.

Une singulière histoire sur sur le deuil et l’amour magnifiquement interprété par Bertrand Skol dans un texte pertinent et une mise en scène subtile et intelligente de Jean-Benoît Patricot impressionne le spectateur. Un coup de cœur et de nostalgie pour la chanson de « Sag Warum « de mes 15 ans. Dommage que la disposition de la salle ne permette pas de voir l’acteur quand il est couché ou par terre, je suis petite et assise trop loin, avec des plus grands devant moi. À découvrir à la Scène Libre jusqu’au 24 mars du jeudi au samedi à 21h, le dimanche à 19h.

Adriana Lecouvreur de Francesco Cilea.

L’habile mise en scène de David McVicar fait écho à la vie théâtrale et le théâtre dans la vie. À la baguette, Jader Bignamini impose une direction subtile et franche. Les chanteurs sont à la hauteur de leur rôle, un coup de cœur pour l’interprétation sensible d’Ambrogio Maestri dans le rôle de Michonnet, un opéra émouvant à découvrir à l’opéra Bastille jusqu’au 7 février.