Face au pont des Arts, le collège des Quatre-Nations créé par le ministre Mazarin, dès 1662, se niche sa splendide bibliothèque. Ouverte au public du lundi au samedi de 10 à 18h. Des gravures de Dürer, Rembrandt et Le Lorrain sont exposées jusqu’à la fin du mois d’août.

Vous pouvez voir au Louvre, une passionnante petite exposition de quelques 150 œuvres exceptionnelles du 18e et 19e siècle qui restent de la collection du journaliste, collectionneur et homme d’État Adolphe Thiers. De nombreuses porcelaines et livres furent détruits au moment de la Révolution. À voir jusqu’au 25 août. Luxe extraordinaire, j’étais seule, en plein mois d’août, ce samedi matin à 9h tout au long de ma visite !

Salle vide au Louvre, magique !

25 comédiens convaincus et convaincants interprètent l’odyssée de la vie de Jules Verne. Vous les suivez de salle en salle aux ravissants décors adaptés à chacun de ses romans. Ce spectacle vivant de qualité mérite le prix demandé de 20 € pour les enfants et 30 € pour les adultes. Réservez sur http://www.legrandhoteldesreves.fr jusqu’au 2 novembre, les vendredis et samedis de 14h à 21h et les dimanches de 10h40 à 17h40. Du 8 novembre au 4 janvier vous pourrez découvrir La véritable histoire du Père Noël.

Cette exposition de quelques 400 œuvres éclectiques est un parcours initiatique de l’histoire de l’Art Brut du 17e siècle à nos jours, choisies parmi les 1000 de la donation Decharme offerte au Centre Pompidou. Cette sélection présente entre autre des œuvres du Japon, de Cuba et du Brésil. Prendre son temps pour découvrir ses visions des mondes différents et fascinants de ces artistes obsessionnels. Au grand Palais, jusqu’au 21 septembre.

Ouvert depuis 1970, vous pouvez admirer depuis 2014 ces 24 vitrines panoramiques offrant plus de 1500 spécimens de pierres de toutes couleurs et toutes formes. Niché au sous-sol de la faculté de Jussieu, 4 place de Jussieu, n’hésitez pas à traverser le campus pour les découvrir. Du lundi au samedi de 13h à 18h.

Un être humain passe un tiers de sa vie à dormir et une grande partie de ce temps à rêver. Ces rêves sont fugaces et difficiles à interpréter. Cette exposition offre autant d’étapes pour approcher ce mystère. Au musée des Confluences, à Lyon jusqu’au 24 août.

Ne pas oublier de visiter l’intéressante boutique et oublier la brasserie du musée bien décevante.

Journal d’un marque-page de Thierry Fresne, érudit et distrayant.

La danse de Gengis Cohn de Romain Gary, absurde et poétique.

L’allègement des vernis de Paul Saint Bris, cultivé et audacieux.

Amélie et la métaphysique des tubes de Maïlys Vallade et Liane-Cho Han

Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau de Gints Zilbalodis

La plus précieuse des marchandises de Michel Hazanavicius