J’apprécie tout particulièrement cette merveilleuse chorégraphe, danseuse, ses décors et costumes colorées. Quelle formidable soirée ! C’était au théâtre de la Ville.
Catégorie : Choses Vues
Les carnets du sous-sol de Dostoïevski.
Le mur de pierres de la petite salle du théâtre de l’Essaion sert de décor idéal au sous-sol du comédien. Christophe Laparra est le formidable interprète de cet homme qui s’interroge et remet en question le libre arbitre et la liberté face aux idées reçues de son temps. Austère, mais actuel. A voir jusqu’au 20 janvier, les lundis et mardis à 21h.
M.C. ESCHER, pour la première fois à Paris.
Une grande rétrospective est consacrée à Maurits Cornelis Escher, quelques 200 œuvres sont accueillies. La Monnaie de Paris, jusqu’au 1er mars. Cette exposition plonge dans l’univers imaginaire et vertigineux. Cet artiste a su conjuguer art, mathématiques, géométrie, logique et philosophie. À admirer en famille.






The gathering de Joanne Leighton.
Sur un décor de forêt, dix danseurs énergiques se mêlent et s’entremêlent pour une danse hypnotique d’une heure quinze. À découvrir au théâtre des Abbesses jusqu’au 15 novembre.
« L’art lave notre âme de la poussière du quotidien » disait Picasso.
Je fait mienne cette citation ainsi que la beauté ressource.
Dolorès de Yann Guillon et Stéphane Laporte.
Dans l’habile mise en scène de Virginie Lemoine, cette histoire vraie est interprétée par l’excellent comédien Olivier Sitruck dans le rôle d’Imperio. Entouré de comédiens et de danseurs de flamenco, il conte l’histoire de sa vie de résistant contre les nazis. La disparition de sa sœur jumelle l’incite à danser sous son nom Dolorès. Comment un simple danseur devient un grand résistant. Formidable, plein d’émotions retenues, suivez son histoire au théâtre actuel/ La Bruyère les mercredi, vendredi et samedi à 21h, le jeudi à 19h, le dimanche à 15h, jusqu’au 26 avril.
Les conséquences de Pascal Rambert.
C’est le premier volet d’une trilogie qui s’étalera jusqu’à 2030. Le temps qui passe au sein d’une famille : naissance, mort, mariage, divorce. Une pléiade d’excellents d’acteurs Audrey Bonnet, Anne Brochet, Arthur Nauzyciel, Stanislas Nordey, JacquesWeber, Marilù Marini se croisent sur le plateau. Fascinant, à découvrir au théâtre de la Ville, jusqu’au 15 novembre.
Ali de Grey Filastine, Ricard Soler Mallol et Walid Ben Selim.
L’odyssée migratoire d’un jeune somalien de 12 ans mis en musique par Brent Anorld. Parti du sud de la Somalie, il lui aura valu 2 ans pour arriver à Bruxelles -Midi. J’ai découvert et beaucoup apprécié cet opéra contemporain interprété par le contre ténor africain Sanele Mwelase sous la direction énergique de Michiel Delanghe à La Monnaie à Bruxelles jusqu’au 9 novembre.
Les gros patinent bien.
Ne manquez surtout la diffusion sur France 4, de la pièce de Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan, dimanche soir à 21 h. Pour tous ceux qui n’habitent pas Paris et qui n’ont pas la possibilité de la voir, comme moi une deuxième fois en décembre. Lire sur ce blog mes chroniques du 2 mars et 3 septembre.
