J’ai eu du mal à adhérer à la notion de flou d’après guerre. Je n’ai ressenti aucune émotion devant les photographies d’amateurs et les tableaux de jets d’encre des photocopieuses. J’ai vivement apprécié les quelques tableaux de Turner, Monet, Redon, Hartung, Rothko. À découvrir au musée de l’Orangerie, jusqu’au 18 août.



