Que d’espoir ! Cabaret théâtral.

Cette nouvelle et inventive mise en scène de Valérie Lesort est à découvrir au théâtre de l’Atelier, jusqu’au 8 juin. Les textes issus de différents cabarets d’Hanokh Levin sont un montage, ils sont surprenants. ils sont ponctués de chansons interprétés au piano par le talentueux travesti Charly Voodoo. J’ai reconnu les codes couleurs de l’artiste mais ai été surprise par ses personnages démesurés et l’humour parfois scatologiques.

Tous Léger ! Avec Niki de Saint Phalle, Yves Klein, Martial Raysse, Keith Haring…

Ce n’est pas mon peintre préféré et ce ne l’est toujours pas. L’exposition est intéressante et met en avant l’influence de Fernand Léger sur le groupe des Nouveaux Réalistes. Ce mouvement réuni des artistes tels qu’Arman, César, Raymond Hains, Yves Klein, Martial Raysse, Daniel Spoerri et Nike de Saint Phalle. Cette exposition ludique et colorée est à découvrir au Musée du Luxembourg jusqu’au 29 juillet.

Regards intemporels. Des Pharaons à aujourd’hui.

J’ai admiré le remarquable choix et la juste nuance des couleurs différentes de chaque pièce qui met en valeur chacun de ces magnifiques objets exposés au 1 er étage de la Fondation Boghossian. Il est bien difficile d’exposer des œuvres contemporaines à côté de de la beauté de ces quelques 120 œuvres exposées. À voir jusqu’au 7 septembre.

Echoes of Art Déco.

Vitraux, affiches publicitaires, meubles, vases en céramique, TSF, accessoires de bureau tous datant des années 1920-1930 sont admirablement présentés dans ce décor de la même période. C’est au sous-sol de la Fondation Boghossian, jusqu’au 2 novembre.

La Fondation Boghossian.

Cette somptueuse villa construite par l’architecte Michel Polak en 1930, à la demande du second fils du baron Édouard Empain. Il donne sa Villa à la ville de Bruxelles en 1937. Après la guerre, il récupère sa Villa. En 1973, il vend sa Villa à Harry Tcherkesian. En 2006, cette fondation le acquiert et la restaure complètement, jusqu’à la piscine. La décoration Art Deco du sous-sol, des étages aux toilettes du rez de chaussée servent d’écrin à de splendides expositions.

Revoir Cimabue- Aux origines de la peinture italienne.

Une quarantaine d’œuvres de différents peintres montrent la richesse et la nouveauté de l’art de Cimabue. La restauration de la Maestà et l’acquisition d’un panneau inédit du peintre sont le point de départ de cette exposition au Louvre, jusqu’au 12 mai. À déplorer que les vitres de ces splendides tableaux reflètent les visiteurs et les éclairages.

Georges Mathieu.

Cette passionnante rétrospective est présentée plus de 50 ans après celle tenue dans ce même lieu en 1971 à l’Hôtel de la Monnaie. Elle retrace la carrière éclectique du peintre. De l’affiche au générique de la télévision, en passant par les médailles, la monnaie et ses toiles aux images abstraites marquent son temps. À découvrir jusqu’au 7 septembre.

Suzanne Valadon.

Pendant ces longues séances de pose, elle observe et apprend les différentes techniques du dessin et de la peinture, en regardant les peintres. Suzanne Valadon peint ses proches avec réalisme. Elle est reconnue de son vivant. Découvrez son Œuvre au Centre Pompidou, jusqu’au 26 mai.