C’est toujours un opéra émouvant, une musique magnifique et des personnages représentatifs du XIX ème siècle. Le metteur en scène Vincent Huguet a fait revivre les années 1920 … pourquoi changer d’époque, le texte d’Henri Meilhac perd de sa cohérence. Les costumes de Clémence Pernoud sont vulgaires et n’avantagent pas la chanteuse Ailyn Perez ni les choristes. Dommage, les voix sont belles, il suffit de fermer les yeux. C’est à l’Opera Bastille jusqu’au 26 février.