Le rideau s’ouvre, un courant d’air frais arrive et ne nous quitte plus, sans doute pour nous mettre dans l’ambiance du Groedland. Un lit simple, un piano qui égrène seul quelques notes de Bartok, un doudou, un cabas, pour une mise en scène inexistante de Pierre Pradinas. La malheureuse comédienne Géraldine Danon dit son texte (Pauline Sales) du mieux qu’elle peut. Sans queue ni tête, le spectateur erre avec elle pendant 1H 30, sans comprendre où cela la mène et s’ennuie. A EVITER. C’est à La Scala où il y a d’autres spectacles formidables.