Les danseurs magnifiques, la chorégraphie d’Angelin Preljocaj, les costumes d’Azzedine Alaïa, la musique de Nicolas Godin, les décors de Constance Guisset Studio, les lumières d’Eric Soyer, l’histoire tirée d’un conte chinois sont d’une cohérence parfaite et le tout d’une beauté absolue. Si vous n’avez pas eu la chance d’aller voir ce spectacle La Fresque, vous pouvez essayer d’avoir des places au Théâtre National de la danse Chaillot, c’est jusqu’au 22 décembre. Je crois avoir bien résumé notre ressenti à tous.